Avec l’intensification des échanges, la poignée de main s’est considérablement répandue. On se serre la main pour se dire bonjour ou pour se dire au revoir, pour se congratuler, pour sceller un marché, pour s’excuser et se réconcilier.

A distance, on peut se saluer par un signe de la main ou un hochement de tête, en ôtant son chapeau, par une révérence (au Japon). Les Hindous font l’anjali (mains jointes en s’inclinant), ce même mouvement est appelé waï en Thaïlande ; les Arabes font le salâm en portant la main au coeur, à la bouche et au front. Ce geste est accompagné par les mots salâm alaïkum, « paix sur toi ».
 
 

Les Esquimaux se saluent en donnant des bourrades sur la tête ou les épaules de leur interlocuteur
On peut aussi s’embrasser sur le front, sur les lèvres (en Russie) ou sur les joues (« la bise » en France, dont le nombre est variable selon les régions).
En Nouvelle-Zélande, les Maori se frottent le bout du nez. Américains et Britanniques préfèrent l’embrassade (to hug somebody). Dans certains pays d’Amérique latine, cette accolade s’appelle abrazo.
Plus insolite pour nous, les Tibétains se tirent la langue (liste non exhaustive).

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